Dans mon dernier billet, j’expliquais à quel point certains facteurs dysfonctionnants pouvaient faire ressentir la charge de travail plus importante qu’elle n’est en réalité.
Parlons cette fois-ci d’un facteur crucial de ce sentiment de surcharge subjective, qui revient fréquemment dans les diagnostics que j’effectue sur l’analyse de la charge et la qualité de vie au travail: l’ambiance.